Pollution de l’air intérieur
État des lieux
Ce n’est pas un fait nouveau, notre air extérieur est pollué et une grande partie
de cette pollution atmosphérique s’insinue dans nos lieux de vie.
Si les matériaux utilisés dans la construction et la finition du bâtiment génèrent des effluves chimiques et allergisantes, nos activités comme le bricolage, la cuisine et le ménage avec divers produits contribuent également à la présence d’un grand nombre de poussières fines et particules toxiques en intérieur.
Malgré une ventilation correcte, tous ces polluants et agents pathogènes peuvent avec certaines concentrations et durée d’exposition provoquer des troubles de santé importants,
voire même irréversibles.
Un sujet qui nous concerne tous…
En zones urbaines…
La pollution intérieure est un enjeu majeur de la santé public comme nous l’explique l’ANSES dans la vidéo suivante.
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C'est le temps que nous passons en intérieur !
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des citadins sont exposés à des concentrations de particules fines à la limite sanitaire fixée par l’OMS !
Pollution de l’air intérieur
et risques sanitaires
Nous en avons pris conscience depuis longtemps, pourtant, selon les nombreuses études récentes, l’air ambiant de nos pièces serait bien plus pollué qu’en extérieur.
Ce bilan concernerait également les logements bénéficiant d’un système de ventilation installé, permettant un renouvellement d’air grâce à une ventilation mécanique divers (VMC, climatisation…).
La différence est effarante puisque selon ces recherches,
l’air intérieur serait jusqu’à 8 fois plus pollué qu’en extérieur !
Cette triste réalité est la raison pour laquelle toutes les organisations référentes sur le sujet ont fait de la qualité de l’air intérieur une préoccupation majeure de santé publique (OQAI, OMS, ADEME, Ministère de la solidarité et de la santé publique…)
La qualité de l’air intérieur :
une priorité de santé public !
Une étude réalisée par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (organisme public Anses) estime à
19 milliards d’euros minimum le coût socio-économique annuel de la pollution de l’air intérieur en France (estimation économique de la prise en charge des soins, des pertes de production
et des décès prématurés).
Les éléments nocifs
présents dans l’air ambiant…
Particules fines
Le danger des particules en suspension : PM10, PM2.5 et PM1, omniprésentes dans nos intérieurs.
agents pathogènes
Sur le devant de la scène sanitaire, les bactéries et les virus sont légions dans l’air confiné des bâtiments.
Polluants
Les Gaz, fumées et COV toxiques, émis dans l’atmosphère environnante intérieure.
allergènes
Les pollens, les moisissures, les acariens et les squames d’animaux sont les allergènes les plus courants.
Profitez d’air purifié
toute l’année !
L’air est jusqu’à :
Un chiffre qui en dit long…
Reportage diffusé sur France 5 concernant les polluants présents dans l’air confiné.
Source : quotidienne de l’émission, le samedi tout est permis !
plus pollué en intérieur qu'en extérieur !
c'est le coût humain et financier annuel, lié à la pollution de l’air intérieur en France !
Les dangers des particules nocives de l’air ambiant !
L’Organisation Mondiale de la santé nous alerte !
Selon l’OMS, les particules fines et polluants divers, régulièrement présents dans les fumées des habitations, génèrent l’inflammation du système respiratoire, ce qui dégrade la réponse immunitaire et minimise le pouvoir oxyphorique du sang.
Comment se protéger de la pollution de l’air intérieur ?
Disponibles auparavant exclusivement pour les professionnels, les principes de désinfection d’air, tendent à se démocratiser auprès du grand publique.
Infos complémentaires
N’hésitez pas pour plus d’informations, à aller faire un tour sur le site de la santé publique pour consulter les articles dédiés à la pollution de l’air intérieur.
Comment vérifier la qualité de l’air de mon lieu de vie ?
Les conseillers Scix mesurent la quantité de polluants et de particules fines présents dans votre habitation ou local professionnel.
Les effets des particules nocives de l’air
nous concernent tous !
Même si les enfants et les personnes âgées sont comptés dans la population la plus vulnérable, nous pouvons tous être touchés par divers conséquences liés aux risques de la pollution de l’air ambiant dans les bâtiments.
Référence Française de la qualité de
l’air intérieur : l’OQAI !
Les pouvoirs public Français ont crée l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) en 2001.
Selon un extrait du plan d’action de l’OQAI, l’organisme de santé public nous explique :
- Plusieurs polluants présents dans l’air ambiant sont cancérogènes.
- Les troubles respiratoires et plus globalement de santé associés à une mauvaise qualité de l’air intérieur sont divers et nombreux.
- La pollution de l’air des espaces clos exacerbe les troubles de santé, tel que :
les irritations des muqueuses, les maux de tête et peut, entre autres, provoquer des nausées et des fatigues plus ou moins importantes…
===>À l’inverse, et toujours selon l’OQAI : une qualité satisfaisante de l’air ambiant, améliore la santé des occupants, ainsi que l’apprentissage des enfants.
La pollution de l’air intérieur favorise les allergies, l’asthme et les troubles respiratoires divers !
Selon de le ministère de la santé les Composés organiques volatiles et autres polluants ont des effets sanitaires variés comme les allergies respiratoires (allergies aux pollens, aux moisissures et aux acariens), l’asthme, les irritations multiples du système respiratoire et comme l’OQAI, le ministère de la solidarité et de la santé confirme que les molécules présentes dans l’air intérieur, peuvent avoir un effet cancérigène.
Les incidences les plus graves…
Une tendance à la hausse…
L’organisation mondiale de la santé, nous explique de quelles manières les polluants dans l’air, affectent profondément notre organisme.
prématurés en France, recensés en 2018, à cause de la pollution de l'air.
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des décés recensés en 2018 en France sont liés aux particules fines PM2.5.
Quels sont les risques sanitaires les plus graves liés à la pollution de l’air intérieur ?
La dernière étude en date, dirigée par l’université « Harvard », avec la collaboration des universités de Birmingham, Leicester et de Londres, comptabilise en 2018, 8,7 millions de décès prématurés dans le monde, liés à la pollution de l’air. Conclusion des recherches,
publiées dans Environmental Research, le 9 février 2021.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes:
Le nombre de décès prématurés en France en 2018, est estimé à 97.242,
soit, 17% des morts recensés sur l’année !
En principales causes de cette pollution, les particules PM10, fines PM2.5 et ultra-fines PM1,
présentes dans l’air extérieur et intérieur.
Aérer ses pièces, une solution ?
S’il est conseillé d’aérer ses pièces de vie entre 10 mn et 20 mn, tous les jours, minimum, même en hiver, cela ne suffit pas à évacuer la majorité des polluants de la maison et autres allergènes (pollen, acariens, moisissures, poussières volatiles, poils d’animaux…), d’autant que l’air extérieur apporte également son lot de particules nocives.
Les limites d’une simple aération sont évidentes :
cela fonctionne uniquement avec une efficacité limitée, lorsque vos fenêtres sont ouvertes, sans éliminer les principaux contaminants et Composés Organiques Volatiles dangereux pour notre santé, sur la durée.
Lire notre article sur les dernières innovations
en matière de purification de l’air.
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